Divine,
Divine, Devine….
Devine mon envie,
Mon envie Assassine,
Mon envie assassine de sucer ton essence
Et d’affoler tes sens.
Cette envie de sentir sans concession sur ta peau si soyeuse,
Le satin sensuel, les positions sismiques,
Le Sel, et la ciguë qui s’y transpire.
Sans cesse, sous mes caresses, ces impressions tendresses, semblent s’estomper, puis s’effacent.
Silences, absences, suivent.
Qui sait ? Qui se soucie de ça ?
Sans doute suis-je le seul ?
Et si j’essayais de salir ta Sainteté ?
Si je te sacrifiais aux sourires des passantes ?
Sont-ce les solutions d’un systeme acéphale ?
Ou un simple sacrifice sorcier ou j’ai une place centrale.
Ces questions si soucieuses, ces sensations si denses,
Ne sont que des sentiers sinueux et sans nom.
Je laisse à ceux qui savent, le soin de s’y avancer.